Présentation : Cette page rassemble les paroles et la traduction française de la chanson popularisée par le groupe. Elle offre un accès rapide aux passages clés pour saisir les images du ciel et du bleu.
Les couplets sont en espagnol et le refrain en italien. Nous proposons des équivalents clairs en français pour guider la lecture et éviter toute ambiguïté.
Fil conducteur : un rêve intense, le souffle du vent et l’élévation vers le ciel. L’incipit « pense qu’… » installe une introspection sensible.
Méthode : approche glossaire et mini-dictionnaire pour expliquer les images, repérer les champs lexicaux et relier chaque vers à une idée précise.
La version française reste une référence festive en France. Pour consulter la traduction complète, suivez cette lecture guidée sur Musixmatch.
Repères de glossaire: contexte, intention et usage en France
Un dispositif linguistique hybride sert ici l’idée d’envol et de couleur. Le texte alterne espagnol pour les couplets et italien pour le refrain, ce qui crée une tension poétique entre récit et ritournelle.
Intention : exprimer une euphorie née d’un rêve, portée par des images d’envol vers le ciel teinté de bleu. Le syntagme initial « pense qu’… » installe une subjectivité qui crédibilise la vision onirique.
Fiche rapide
| Type | Langues | Motifs | Intention vocale |
|---|---|---|---|
| Chanson | Espagnol / Italien | Rêve, ciel, vent, couleur | Chanter, s’élever |
| Usage en France | Festif, populaire | Effet d’élévation « plus haut » | Refrain mémorable |
Conseil d’usage : traduire simplement les images tout en gardant la nuance multilingue. Pour la traduction complète, consultez cette page explicative sur la traduction française.
Volare des Gipsy Kings : paroles et traduction
Ce passage met en scène un basculement du rêve vers l’élévation physique et émotionnelle.

Couplet : pensée et départ
« Pienso que un sueño parecido no volverá más » se traduit par pense qu’ un rêve semblable ne reviendra pas. Cette phrase place l’expérience au centre. Elle annonce l’envie d’atteindre un état rare.
Couplet : image du corps peint
La ligne « Y me pintaba las manos y la cara de azul » rend la scène très visuelle. Le texte dit qu’il a peint mains et peint mains visage, créant une fusion chromatique entre le corps et le ciel.
Action du vent et refrain
Le vent précipite le mouvement : « el viento rápido me llevó » transforme l’immobile en envol. Le refrain lie voler et chanter, tandis que la couleur bleu s’impose comme décor et émotion.
Pont et image finale
L’hyperbole « plus haut que le soleil » magnifie la joie. Cette hauteur justifie le « heureux d’être là‑haut » et résume la trajectoire : un souffle qui fait voler le sujet vers un fait voler ciel infini.
Pour la version complète, consultez la traduction complète.
Entrées de dictionnaire: expressions clés et champ lexical des paroles
Ce mini-glossaire identifie les images clefs qui structurent l’élévation du texte.
Images d’élévation et synonymes
« fait voler » désigne ici une force qui porte ou soulève. Elle suggère un basculement hors du monde terrestre.
Le groupe « fait voler ciel » et l’expression voler ciel décrivent le lien entre mouvement et espace infini.
« Y me hizo volar en el cielo infinito »
Couleur et corps
Les syntagmes peint mains et peint mains visage rendent l’image très matérielle.
La répétition de mains et visage insiste sur la transformation du corps.
Le bleu fonctionne comme décor et substance. Il joue le rôle de milieu : le ciel devient couleur et matière.
Moteurs du récit : vent, rêve et structure
Le mot vent explique l’impulsion : il emporte et accélère.
Le rêve sert d’amorce et légitime les images hyperboliques, comme « plus haut ».
- fait voler : porter, soulever, emporter.
- voler ciel : horizon infini et mouvement ascendant.
- peint mains visage : image littérale conservée en traduction.
Conclusion
La conclusion souligne le trajet du rêve vers une joie aérienne.
Pense qu’ l’incipit lance un récit qui passe du désir à l’envol. Le chemin s’organise : rêve, vent, puis le fait qui fait voler le narrateur.
La couleur bleu joue un rôle central. Elle devient milieu et signe poétique, visible dans les mains et le visage peints. Les formules peint mains et peint mains visage marquent la métamorphose.
Sur la scène, l’association voler ciel et fait voler ciel dessine un axe vertical qui mène plus haut. Le glossaire aide la lecture et préserve la musicalité des passages italiens.
En somme, la chanson reste un emblème d’évasion où verbe, couleur et élévation se rejoignent.

